Scandale – Youcef Belaili fait déjà des siennes au MCA !...........
Nouvelles tensions au nord du Mali : Menace sur l’Accord d’Alger et risque d’embrasement...........
Selon Bengrina, la Tunisie devrait bientôt normaliser ses relations avec Israël........
Pourquoi Tebboune à peur d’une guerre au Niger ?
Le président algérien à dépêché son ministre des affaires étrangères aux USA pour supplier les américains de ne pas intervenir militairement au Niger, suite au dernier coup d’Etat. Le chef d’Etat algérien n’a pas caché son inquiétude de voir le Niger basculer dans une guerre civile, un pays avec lequel l’Algérie partage 1000 kilomètres de frontières.
» Si un problème surgit au Niger et on ferme aussi nos frontières avec ce pays, l’Algérie sera coupée de monde », ainsi explique Tebboune, le pourquoi de son refus à une intervention militaire au Niger. On se demande alors pourquoi il veut entrer directement en guerre avec le Maroc un pays plus proche de l’Algérie que le Niger ? Tebboune a amplement raison d’avoir peur d’une guerre à ses frontières, mais, au même temps, son régime finance toute une armée depuis 1975 pour déstabiliser le Maroc. Le paradoxe est énorme. Pourquoi pas alors ne pas faire la paix avec le Maroc. Un pays qui n’a jamais cessé de tendre sa main à l’Algérie et qui lui demande réconciliation, collaboration et enterrer la hache de guerre.
Tebboune estime qu’une solution diplomatique est à préconiser à la crise au Niger. Pourquoi pas alors il ne préconise pas une solution diplomatique avec le Maroc ?
Sur le plan économique, une guerre au Niger sera un coup fatal pour l’économie algérienne. Le gazoduc nigérien vers l’Europe qui traversera l’Algérie ne sera jamais réalisé. Les investissements énormes de la Sonatrach au Niger seront annulés. Le projet de la réalisation de la » route de l’unité africaine », co-financée avec le Niger ne verra jamais le jour, ce qui causera d’énorme pertes financières à l’Algérie.
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Alors que les bruits de bottes s’entendent sur nos frontières avec le Niger, la tension monte au nord du Mali, entre les forces armées maliennes et les éléments de la CMA (Coordination des mouvements de l’Azawad), dans la région de Tombouctou. Chacune des deux parties accuse l’autre d’avoir ouvert les hostilités armées, autour de l’occupation du camp de la Minusma (Mission des Nations unies pour le Mali), dont le retrait a été fait à la demande des autorités de la transition. La situation met en péril les espoirs de paix dans la région, nés des Accords d’Alger, signés en 2015 et qui ont mis fin à la rébellion.
La situation inquiète sérieusement au nord du Mali. Cette inquiétude est nourrie par le fait que la Coordination des mouvements de l’Azawad (CMA), et les forces armées maliennes, s’accusent mutuellement d’avoir ouvert les hostilités (armées).
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