Le président syrien par intérim, Ahmad al-Chareh, a promis ce dimanche de poursuivre les responsables de «l'effusion de sang de civils». Au moins 973 personnes ont été tuées dans l'ouest du pays, selon une ONG. Les violences ont été déclenchées par une attaque sanglante le 6 mars de partisans du président déchu, Bachar al-Assad, contre des forces de sécurité à Jablé, près de la ville de Lattaquié, berceau de la minorité alaouite.