Il faut faire vite. Après la fermeture en janvier du Marineland d’Antibes en vertu d’une nouvelle loi sur le bien-être animal, le sort des orques qui s’y trouvent relève du casse-tête pour le gouvernement, entre la volonté de l’entreprise de transférer les cétacés dans un autre parc en Espagne et la pression des associations de défense des animaux qui désirent les envoyer dans un sanctuaire.