Après la publication du rapport de la commission d'enquête parlementaire lancée après le scandale Bétharram, les membres d'un collectif d'anciens élèves de l'établissement scolaire catholique ont réagi par la voix de leur porte-parole. Le rapport a permis de mettre au jour de nombreux dysfonctionnements, pendant des années, qui ont permis ces violences, dans le privé et dans le public. Y est notamment pointée du doigt, la « loi du silence » qui règne à tous les échelons. Il souligne également que des violences « encore invisibilisées » dans l'enseignement public persistent de façon « préoccupante » dans l'enseignement privé, « notamment catholique ». Et proposent 50 mesures pour mieux protéger les enfants.