Le gouvernement français préfère agir «à bas bruit» pour faire libérer les ressortissants qu'il juge injustement détenus à l'étranger, estimant que les dénonciations publiques ne font qu'aggraver leur situation, a déclaré mercredi le ministre délégué en charge des partenariats internationaux. Mais pour l’avocat Gilles-William Goldnadel, «nous avons un gouvernement de pleutres».