Rami Abou Jamous, journaliste gazaoui francophone, a envoyé au « Monde » un message vocal. Il raconte l’enfer pour se nourrir et boire de l’eau, alors qu’Israël restreint fortement l’accès à l’aide humanitaire depuis le 2 mars.
Le 21 juillet, vingt-cinq pays, dont la France, ont appelé à la fin « immédiate » de la guerre dans le territoire palestinien assiégé et dévasté. « La souffrance des civils à Gaza a atteint de nouveaux sommets », estiment-ils, dénonçant « le refus du gouvernement israélien de fournir une aide humanitaire essentielle à la population ».